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1. |
Whats Happening ?
04:55
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Lyrics :
What’s happening on this amazing face ?
Is there a trouble inside this skin ?
Is she wondering inside some grace and splendor ?
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2. |
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Lyrics :
A dominer les verges folles,
Qui fières allures se balançaient,
Sur ta cambrure de Moghol,
Comme des bougies allumées.
Nous sommes chiens ou bien fanges,
Liqueur contre l’ennui,
J'ai pleuré sur ta peau d’ange,
Gâchée aux abrutis.
Bien maladroit,
Un canadien m’entreprit,
Tout doux,
De ses doigts.
Et dans mon franglais d'école
Je l'ai dûment mis à la colle.
Alors il déroula sa langue,
Et me baisa,
Comme on harangue,
Mais dans mon coeur de nympho,
Je rêvais fièrement d'un puceau.
All I want is crying after an orgasm.
Full of void and spasms.
And waiting for the day when we’ll love each other again.
And waiting for the day when we’ll love.
Waiting for the day we’ll love each other again.
Waiting for the day we’ll love each other again.
Waiting for the day we’ll love each other again.
I'll be your cocktail molotov,
Le con et le cul sans étoffe.
Une verge bercée par mes seins,
Lipstick sur sa gueule de chien,
Dans sa belle chair intrusive,
une jolie bombe abrasive.
Tu embrumes mes narines,
A faire fuir tes draps blancs,
Pour y lester quelques canines,
Qui perceraient tous tes talents.
Visée au coeur par le pénis,
pour ne plus jamais y couper,
Et mourir frais de nos délices,
dans un marécage oublié.
Du bordel de Lautrec au carnaval d'Ensor,
Du sexe de Priape à l'origine du monde.
I never gone without my gode,
De jouets je remplis mon tiroir,
Telles des couronnes à ma gloire.
Mais dans ton âme d’apatride,
Je ne suis qu'une éphéméride.
Waiting for the day we will love each other
again.
Waiting for the day we will love
Waiting for the day we will love each other
again.
Waiting for the day when we’ll love.
Then we will love.
We will love.
Love Love Love
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- Matricule Papillon -
Tes yeux ronds
Comme des bulles
De savon
Matricule
Papillon
Je bascule
Mon crayon
Noctambule
Sur ton front
Majuscule
A ton nom
Particule
De rayon
Canicule
Je me fonds
Molécule
Aux régions
De ton cul
Au vallon
Sous ton pull
Tes mains font
Les crapules
Des façons
Tarentules
Tes mains ont
Des formules
Des chansons
Des calculs
Des leçons
J’affabule
Un dragon
Capitule
Je suis ton
Funambule
Sur le pont
Clavicule
D’Avignon
Péninsule
De ton con
S’éjacule
L’horizon.
De ton con s’éjacule l’horizon.
De ton con s’éjacule l’horizon.
De ton con s’éjacule l’horizon.
__________________________________
En attendant mon corps se noue,
Dans les bras d'un bel andalou,
et vitupère ma syntaxe,
I need my man from Halifax.
De ton con s’éjacule l’horizon.
De ton con s’éjacule l’horizon.
De ton con s’éjacule l’horizon.
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3. |
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Lyrics :
Wayne, not come away.
Wait, not come away.
Way out, come away.
A way not come away.
(Le prénom Wayne est d'origine anglaise. Il veut dire « qui construit des wagons ». C'est aussi le prénom du père de Kim Gordon.....)
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4. |
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Lyrics :
Le quart vaudou de sa peau brune,
Tatouée aux quatre cardinaux,
Un cœur fendu d’une épée gravée au bras droit,
S’enlise sur quatre papillons ciselés en son bas ventre,
Tandis qu’un dragon rouge d’écaille rugit,
Sur la vague de son cul.
Sur l'écran de silice,
Naviguent nos iris.
Dans sa fenêtre de capture, tous les hommes y confessent l'orgueil d'être sa muse,
Criblant sa belle carcasse de compliments de buses.
Elle trompète à nos vies les miroirs de nos écluses,
Et danse en courbe vive la beauté, perdue, et retrouvée.
Fontaines à fables humides où l'on puise sa source,
Éclaboussant de frustrations, les absents du conclave.
Elle se reclut soudain.
Affluent de vagues larmes en potences sous ses yeux, en potences sous ses yeux.
Elle se reclut soudain.
Affluent de vagues larmes en potences sous ses yeux, en potences sous ses yeux.
Du mascara grisant ses joues, elle se fait des peintures.
Aux noires beuveries des mots, elle préfère les ratures.
Sur l'écran de silice,
Elle a brulé nos vices.
Le laptop de série n'affiche plus que son cul,
Plus que du noir,
Une image fixe,
Comme un tombeau.
Certains s'agrippent encore, de l’avoir aperçue.
Jaloux et carnassiers ils griffent sa mémoire.
Elle est partie lointaine…
L'assassin aux dents blanches l’attend.
L'assassin aux dents blanches l’attend.
L'assassin aux dents blanches l’attend.
L’assassin là!
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5. |
Sarah.
04:35
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Lyrics :
Dans un tripot de bas quartier,
où l'on buvait sa juste paye,
servait dans un déshabillé,
une jolie fille de Tanger.
Frottant ses paumes à ses hanches,
elle sifflotait jusqu'au dimanche,
pour départir les blondes des blanches,
additionnant comme on retranche.
Oh Sarah , sahraoui de Paris,
s'attifait comme une lady.
De sa poitrine volontaire,
suintait un jus caniculaire,
ravivant le vœux d’adultère,
de tous les vieux clients pubères.
Alunissant sur son cul rond,
ces messieurs bavait du houblon,
et bien que plusieurs fois daron,
Ils s'abjuraient sur son troufion.
Oh Sarah , sahraoui de Paris;
Dans sa voix miel et cris.
Traînant des pieds jusqu'au trépas,
Les yeux pleins de mea-culpa,
et les corps lourds comme un bouddha,
Ils vidangeaient un armada.
Et toute la nuit elle dandinait,
Sans jamais s'laisser démonter,
Par tous ces voyeurs avinés,
criant l'amour et l’acmé.
Oh Sarah , sahraoui, Sahraoui de Paris
En son sein un paradis.
Au plus trivial des ancrages,
se révoltait son doux visage,
taisant les rumeurs au passage,
En écourtant les badinages.
A l'aube cru d'un beau lundi,
Elle se tira en Acadie,
Et une bien sombre mélodie,
emplie le bar et ses On-dit.
Oh Sarah , sahraoui de Paris,
Son avenir à l’infini.
Sa peau de bronze dans le frimas,
ses lèvres larges au teint grenat ,
visant le cœur d'un Attila,
firent d'elle une reine au Canada.
Oh Sarah, sahraoui de Paris,
a dit oui.
Oh Sarah , Sarah d’Acadie,
est partie.
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6. |
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Lyrics :
I liked you and you walk away walk away walk away.
I need you and you walk away walk away.
I kissed you and you walk away walk away walk away.
I loved you and you walk away.
I like the way you move.
I like the way you move.
I like the way you move.
I like the way you move.
I liked you and you walk away walk away walk away.
I need you and you walk away walk away.
I kissed you and you walk away walk away walk away.
I loved you and you walk away.
I like the way you move.
I like the way you move.
I like the way you move.
I like the way you move.
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Yokiko Kamurasa Paris, France
I played with absinthe (provisoire) and sap(e) for some years, making records and gigs in Europa, Canada and USA.
I composed for teatre, dance and movies too...
I made songs, post-rock, ambient, classical guitar, acousmatic music and choirs...
Currently I combine all this diverse cultural heritage to compose singulars songs and instrumentals that are, I hope, easy to listen to and moving.
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